Bénéficiant d’une expertise technique reconnue, vous envisagez de travailler à votre compte en freelance. Vous êtes lancé dans un travail de positionnement et de prospection afin de trouver vos premières missions.
Devenir formateur freelance peut constituer pour vous la première étape de votre entrée chez un client…
La formation : une porte d’entrée dans l’entreprise pour le consultant
En effet, c’est souvent parce qu’elle aura au préalable été sensibilisée par le biais d’une formation, qu’une entreprise achètera dans un deuxième temps une prestation de conseil. Autre avantage, les prestations de formation étant prises sur les budgets de formation, la décision d’achat en est souvent facilitée. Certaines mises aux normes techniques ou des changements d’organisation peuvent s’appuyer sur un programme de formation.
Après une première carrière opérationnelle, peut-être ressentez-vous davantage le besoin de partager et transmettre… La posture de formateur ou de coach va vous offrir la possibilité d’opérer cette transition et de vous lancer en freelance.
Les formateurs sont des prestataires extérieurs (freelances)
La formation est un domaine où le travail en freelance tend à devenir la règle. Les grands organismes de formation, qui recrutaient leurs consultants-formateurs il y a encore quinze ans, ne font aujourd’hui quasiment plus appel qu’à des intervenants extérieurs. Ils disposent d’une base de données avec leurs intervenants référencés dont ils remplissent le calendrier au fil des demandes de leurs clients. Et n’hésitent pas à les libérer en cas d’annulation. Les services de formation des entreprises font également appel à des prestataires, organisme ou expert reconnu.
Si vous intervenez pour un organisme de formation ou un cabinet conseil qui vous envoie en mission chez ses clients, vous travaillez alors en sous-traitance. C’est avec l’organisme que vous avez négocié vos tarifs d’intervention. Votre prix représente environ 50% de celui pratiqué avec le client final. Ces 50% constituent la rémunération du travail de prospection et des efforts de mise en visibilité (communication, publicité…) du cabinet, sachant que si vous travaillez seul vous consacrez la moitié de votre temps à votre développement. Vous pouvez généralement revoir ce pourcentage à la hausse si vous aidez le cabinet sur la phase d’avant-vente, en participant à la rédaction de la proposition, voire même à certains rendez-vous clients.
Les règles de la sous-traitance
Un formateur qui travaille en sous-traitance a souvent un carnet de commande bien rempli car il passe plus de temps en production et consacre moins de temps à la recherche de missions. Le formateur qui travaille en direct dépasse rarement 110 jours par an en mission, soit la moitié des jours ouvrés. Le reste de son temps ne donne pas lieu à une facturation, il est dédié au réseau, à la recherche de nouveaux clients et aux négociations. Si vous préférez être partie prenante dans la définition de la mission, vous choisirez cette dernière solution. En revanche si vous préférez la production, vous trouverez la vie de sous-traitant particulièrement confortable. Dans les deux cas, une aide pour votre gestion sera la bienvenue.
Comment devenir formateur ? Le portage salarial peut vous aider…
C’est là que l’intervention d’une société de Portage salarial bien outillée pour vous accompagner fera toute la différence. Dans ce contexte, que vous soyez formateur débutant ou confirmé, le choix du Portage salarial vous apporte un cadre sécurisé pour vos interventions.
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